Photographie

Pour les photos de mon Blog, elles sont toutes réalisées à l'aide d'un P5100 monté en digiscopie sur une Longue-Vue KOWA, ou sinon un D5000 avec un zoom 150-500mm.

samedi 25 décembre 2010

Le géant du Léman

Le LABBE Vocifère / Stercorarius Maxima

Aujourd'hui je vais vous parlez d'un oiseau extrêmement rare et qui est même classé comme une espèce disparue depuis le début du siècle dernier. Cependant, l'observation de plusieurs oiseaux et l'hypothèse d'une éventuelle colonie ont fait resurgir cet oiseau oublié. Le Labbe vocifère ( Stercorarius Maxima pour les intimes) est une véritable légende ornithologique par ses particularités plus étonnantes les unes que les autres. Il est la cinquième espèce de labbe présente en Europe et la moins connue, ses populations n'ont jamais été très abondantes depuis sa découverte en 1707 par un ornithologue suisse, qui en "récoltant" des espèces sur le lac Léman tomba sur la dépouille d'un oiseau gigantesque qu'il prie tout d'abord pour un rapace à cause de sa taille. Après réflexions, le Muséum d'Histoire Naturelle de Genève pour qui travaillait cet ornithologue, convint qu'il s'agissait d'un labbe et non d'un rapace par le fait que les pattes n'étaient pas adaptés pour la capture contrairement au bec, ce fut le plus grand labbe jamais découvert ( environ 170 centimètre d'envergure ).
Pendant quelques années le mystère resta entier, puis en 1711 un autre oiseau fut observé (et malheureusement abattu) sur le lac d'Annecy par un groupe de chercheur français. Ce deuxième spécimen en bien meilleur état que le premier permit aux scientifiques de mieux étudier les caractéristique de l'oiseau. Les ornithologues du monde entier se réunir pour un sommet à Genève sur la découverte d'une nouvelle espèce de labbe, et qui apparait alors déjà comme incroyable. Il fut nommé Stercorarius car c'est sans conteste un labbe et Maxima par rapport à sa taille, car le "grand labbe" ne mesure que 1 mètre 40 d'envergure alors que le premier individus de cette nouvelle espèce retrouvé mort en Suisse mesurait un peu moins de 1 mètre 70 d'envergure. Quand au deuxième oiseau qui fut tué sur le lac d'Annecy qui était un adulte, il mesurait 1 mètre 95! soit la taille d'un pygargue, ce labbe géant méritait donc bien le nom latin de Maxima. Les années suivantes, la recherche de cet oiseau s'intensifiât dans toute l'Europe, les chercheurs découvrirent que les plumes étaient particulière et constitué différemment que les autres oiseaux, le mystère resta entier.
Lors des cinquante années qui suivirent, l'observation de ces oiseaux s'intensifiât avec un plus grand nombre d'observation. Beaucoup de scientifiques purent ainsi mieux comprendre cet animal, en particulier sa répartition, ses mœurs et sont comportement que je vais vous exposer plus bas. Ce labbe qui fut admiré pour ses particularités et surtout sa taille, vint à souffrir de sa popularité. En effet la plus part des collectionneurs et chasseurs commencèrent à partir du début du XIXème siècle à convoiter cet animal qui semblait si noble, la protection des espèces n'étant pas connut à cette époque, un véritable marché se développa autour du Labbe vocifère, qui apparaissait déjà comme un oiseau rare. Les deux seuls colonies connut de l'oiseau furent dévasté, je parle bien évidemment de celles qui c'étaient installé dans le Nord de l'Islande (une dizaine de couple) qui déjà petite disparue complètement, et la deuxième, plus importante, du Lac d'Annecy qui ce situait sur les falaises du Roc de Chère et comptait au maximum 53 couples. Celle-ci fut pillé en œufs et en oiseaux nicheurs par les habitants des alentours à qui la vente des cadavres de ces labbe leurs permettaient de survivre un mois entier. Malheureusement vers la moitié du XIXème sciècle, l'observation de ces oiseaux se raréfiât, ils devinrent très difficiles à observer, la colonies du lac d'Annecy s'enfuit de la région. Il arriva même que pendant certaines périodes on eu aucune observation de l'oiseau au niveau mondiale pendant 4 ou 5 ans. Les muséums et parcs naturelles tentèrent bien de sauver l'espèce, en 1862 Joseph SUIT organise avec un groupe de naturaliste une expédition pour capturer un Labbe vocifère vivant qui avait été signalé avec cinq de ses confrère au bout du lac d'Annecy. Malheureusement, après avoir été capturé, l'animal s'enfuit au moment de sa photographie avec le chercheur SUIT, qui en garda un souvenir douloureux. D'autre tentatives de captures suivirent, mais on se rendit vite compte que les oiseaux dépérissaient et mourraient très vite, ils ne supportait pas la captivité. Les donnés devinrent de moins en moins fréquent jusqu'à atteindre un écart de 10 ans entre deux observations.
En 1901, Marie LADIEU observe au cours d'un "SeaWatching" vers Dunkerque un Labbe géant complètement noir, prédatant une Mouette de Sabine, puis après avoir raté son attaque, il repart bredouille. Ces la dernière observation de l'espèce, qui sera classé comme éteinte en 1920.

Je vais maintenant vous faire la description du Labbe vocifère, ainsi que son comportement et ses mœurs qui ont été observé par des scientifiques du monde entier venu l'observer sur les Lacs Suisses et le Lac d'Annecy ainsi qu'en Islande et sur les axes migratoires.
Tout d'abord le LABBE Vocifère de son nom français, est nommé ainsi pour ses chants en période nuptial qui sont très impressionnant et bruyant, la communauté international des naturalistes à préféré le nom de Stercorarius Maxima en référence à sa grande taille comparé à ses cousins. D'ailleurs son envergure est immense, elle va de 1 mètre 70 pour les plus petits, à 1 mètre 95 pour les adultes (soit la taille d'un pygargue). Il mesure entre 60 et 65 centimètre de long ( sans les éperons qui font bien 50 à 60 centimètres). En parlant des éperons, ils ont une particularité qui fait la renommé international de ce labbe, ils lui servent d'électrodes . En effet lorsque le labbe vole en pleine mer ou sur un lac, le vent frottant sur ses plumes génère de l'électricité statique, cette électricité est transféré par un procédé inconnu des plumes aux éperons qui l'emmagasine. Ainsi le Labbe peut envoyer des décharges électriques très importantes pour tuer ses proies ou se défendre, ce qui arriva d'ailleurs à ce pauvre Joseph SUIT qui posant avec un labbe fraichement capturé, ce fit électrocuté par ce dernier qui en profita pour s'enfuir, le résultat: une espèce rarissime enfuit et deux belles marques de brulures sur la joue. Le LABBE Vocifère nichait donc seulement en Islande et au Lac d'Annecy, mais d'autres individus avait été aussi observé en période nuptial sans aucunes traces de nidification. Ces ainsi le cas pour les côtes de Norvège, l'Écosse ou encore le Nord de la Baltique. On remarqua aussi plusieurs années que les oiseaux hivernaient en Méditerranée (surtout dans l'Ouest) ainsi que sur les côtes Atlantiques de la France, du Portugal et de l'Espagne; ainsi que dans la Manche. Une petite population fut aussi observé du coté Est de l'Amérique du Nord. Ces oiseaux nichent dans des falaises ou dans des landes désertiques, loin de la présence de l'homme. C'est l'un des rares labbes qui hiverne dans l'hémisphère Nord, beaucoup d'entre eux étaient observé lorsqu'ils passaient par la Manche, ce qui fit de Dunkerque un des spots privilégiez pour son observation. Pour ce qui est de l'identification de l'oiseau, aucun doute n'est possible en raison de sa taille, mais pour plus de précision je vous met une fiche détaillé à disposition. Pour ce qui est de son comportement et de ses mœurs, il faut tout d'abord savoir que le LABBE Vocifère est un "super prédateur" et qu'il peut dans certains cas ce nourrir d'autre prédateurs. Mais, comme tout les labbes, il est avant tout un opportuniste et un charognard, sa forme aérodynamique lui permet de poursuivre d'autres oiseaux et de leur voler leurs proies. Contrairement aux autre labbes qui persécutent de petit oiseaux tel que les sternes ou les mouettes, au maximum le Grand Labbe peut s'attaquer à des Fous de Bassans, lui parasite les seigneurs des cieux, les rapaces. Ainsi beaucoup d'éthologues ont put observer des Labbes vocifères s'attaquant à un pygargue ou un balbuzard en plein vol, lui faisant lâcher sa proie et la récupérant. Il est aussi un prédateur or pair et s'attaque à presque tous ce qui vol, il n'hésite pas à s'en prendre au goéland marin et à le prédater. Il se nourrit aussi de sterne qu'il peut attraper en plein vol, bien qu'il soit avant tout un piscivore et un charognard.


Planche réalisé en 1809 du Labbe vocifère

Enfin, l'espèce semble renaitre de ses cendres ces dernières années car plusieurs observations ont été recensé à travers le monde, ainsi deux labbes indéterminé ont été observé sur le lac Léman, il semble que vu la description, il s'agisse bien de deux labbes vocifères. Une autre observation sur le lac d'Annecy est aussi à confirmer, ainsi qu'une observation au Cap Gris-Nez. Enfin en 2000 un homme du nom de Steve WATERLY vivant en ermite dans le grand nord canadien semble avoir observé trois couples de Labbes vocifères en compagnie d'une colonie de labbes à longues queues, malheureusement les oiseaux semble êtres parti avant l'arrivé du comité spécial d'Homologations d'Amérique du Nord. L'oiseau semble donc toujours en vie, guetté donc si vous ne voyez pas prêt de chez vous dans des endroits calme, il semble particulièrement rancunier et craintif par rapport à l'homme.

Photographie d'un adulte au Léman, on voit l'accumulation d'électricité dans les éperons
Observation faite au Nord de la France d'un jeune labbe semblant être un labbe vocifère.

dimanche 24 octobre 2010

mardi 28 septembre 2010

Rencontre aux Allues/Genève

Bonjours à tous, cela fait un petit bout de temps que je n'ai rien écrit en raison de la rentrée et de tout le reste. Je vais donc commencé cet nouvel année scolaire par un article sur "Les Allues" qui est en fait un petit étang peu profond, ce qui attire énormément de limicoles en période de migration et leurs permettent de se nourrir et faire une halte migratoire de quelques jours. Ce lieu d'escale pour les oiseau est aussi un point d'observation privilégié des photographes et des ornithologue étant donné que l'étang n'est pas très large et que les oiseaux sont souvent près de la rive, donc très facile à observé et à photographié. Un seul petit conseil: évité d'y aller le weekend, car l'étang se trouve à moins de 100 mètres d'une piste aménagée pour des modèles réduits d'avions, le coin est donc assez bruyant le dimanche après midi, surtout que les avions font leurs acrobaties des fois au dessus de l'étang. Le site se trouve en Suisse, sur le canton de Genève, pour plus de détails je vous conseils de regardé le site suisse ornitho.ch.
Donc lorsque je me suis rendu sur se site, j'ai put observé trois oiseaux de trois espèces différentes, tous les trois étant des limicoles.
La première espèce est assez courante en France et en Suisse bien qu'il ne soit que migrateur et hivernant dans nos régions, c'est bien sûr le Bécasseau Variable, qui comme son nom l'indique à un plumage très variable en fonction de la période de l'année et de son age ( certaines espèces d'oiseaux ont des jeunes qui ne deviennent adulte qu'au bout de plusieurs année, d'autre encore on les couleurs de leurs plumages qui change d'année en année jusqu'à devenir adulte, on parle alors de 1ère année, 2ème année, adulte). Le bécasseau variable se différencie donc des autres espèces par rapport à son plumage, son bec, sa taille et la longueur de ses tarses. Pour plus d'informations, voir l'article de l'hiver dernier sur ce fabuleux oiseaux (le premier du blog en fait).

Petite pose photographique ou simple étirement? En tout cas il m'a bien fait plaisir. On peut ainsi voir toute les différentes parties de l'aile, amusé vous a regardé les rémiges primaires, secondaire voir tertiaire ainsi que les couvertures.






La deuxième espèce de limicole observé est un peu moins fréquente chez nous bien qu'il soit vu chaque année plusieurs fois, je parle ici bien entendu du Combattant Varié, malheureusement cet oiseau n'est que de passage chez nous et ne s'arrête ni l'hiver, ni l'été. Le seul moment donc pour l'observer est la période de migration ou il peut s'arrête vers chez vous pour terrorisé les vers de terre et autre petite bestiole. Autant cet oiseau est terne et ressemble à n'importe quel autre limicole lors de la période de migration et de l'hivernage, autant le mâle est une véritable merveille lors de la période nuptial où il possède une imposante collerette donc la couleur peut varié, comme son nom le dit, allant du roux-brun jusqu'au noir passant par un blanc pur. Le plus impressionnant étant que les mâles se retrouvent dans des arènes pour parader, se qui provoque un mélange de couleurs époustouflant. Malheureusement, ils n'adoptent ce plumage nuptial qu'une fois arrivé sur leurs aires de nidification, qui se trouve dans le Nord-Est de l'Europe, l'endroit le plus bas où l'on peut les observer étant l'Allemagne du Nord et le Danemark, sinon la Scandinavie est surement le lieu le mieux approprié à leur observation. Pour revenir à l'individu que j'ai observé, c'était un jeune reconnaissable à sa poitrine jaune-roussâtre et à ses pattes jaunes.







Un petit malin qui lorsqu'il en a mare d'être harceler par les avions, va se cacher dans les herbes, c'est très discret vu la taille du buisson.



Enfin, la dernière espèce observé, et pour qui je me suis déplacé, était un jeune Bécasseau Cocorli, cet oiseaux fait lui aussi parti des scolopacidés (l'une des deux familles de limicoles dont le b. variable et le combattant font d'ailleurs partis). Il est l'un des bécasseau les plus coloré avec le maubèche, les adultes ayant un plumage nuptial entre le rouge brique et le bordeaux assez magnifique. Il est en général plus grand que les autres bécasseaux, et ne peut se confondre qu'avec le bécasseau variable, il possède comme lui un bec courbé et un peu plus long (unique au niveau des bécasseaux), il parait souvent plus élancé que son cousin qui à la tête qui est presque fixé au corps. Mais le critère qu'il faut toujours noté pour être vraiment sûr de l'identification est au niveau des pattes: celles du bécasseau cocorli sont un peu plus grandes, regardé bien le plis du "genou", il parait presque toucher le corps chez le variable, or il est beaucoup plus bas sur les pattes chez le cocorli. Ce critère est vraiment un atout pour la différenciation, et si vous trouvez un groupe mixte des deux espèces, essayé de les comparer, sa ne pourra que être bénéfique.










mardi 17 août 2010

Retour au Col de la Colombière


Un peu après ma première visite, je suis retourné au Col de la Colombière pour tenter à nouveau d'observé le vautour fauve, ayant observé et photographier de nouvelles espèces, je vais vous faire part de quelques observations.
Pour commencer, j'ai put observer un oiseaux assez commun en montagne mais dont la population baisse malheureusement à une vitesse alarmante. Je parle en fait de la Linotte Mélodieuse, un petit passereaux dont le mâle a une poitrine et un front d'une couleur rouge écarlate, je suppose que vous connaissez tous l'expression "tête de linotte" puisque la linotte oublie très vite, et, lorsque l'on la dérange, elle peut s'enfuir pour après revenir au même endroit ayant publié que vous y étiez.

Couple sur un arbre mort
Mâle adulte

En plus des Linottes, j'ai observé une colonie de Traquets motteux ayant des problème avec une hermine qui rodait dans les alentours, celle-ci voulait attraper un jeune pour son repas, malheureusement pour elle, les parents l'on repéré et houspiller jusqu'à ce qu'elle sorte de leurs territoire.
Ainsi qu'un magnifique mâle de Bruant Jaune chantant.
Le Gypaète Barbu enfin photographier.
Et enfin, le Circaète-Jean-Le-Blanc magnifique serpentaire.

samedi 19 juin 2010

Le Col de la Colombière

N'ayant pas fait de sortie très intéressante depuis mon dernier article, je n'ai pas su trop quoi publié. J'aurais put vous proposer la pétition contre le village Olympique dans la plaine de Passy (qu'il faut d'ailleurs signé le plus vite possible) et montrer sa biodiversité d'espèces, mais étant donné que Clément Giacomo s'en ai chargé, je vous envois son lien ici. Je vais donc vous parler d'une sortie au mois de Mai au Col de la Colombière.

Le Col de la Colombière est un lieu typique de haute montagne comportant une biodiversité caractéristique à ce milieu (mais aussi, malheureusement, beaucoup de touriste et randonneurs). Il se situe vers les communes du Reposoir et du Grand-Bornand, ce site est très prospecté en raison de stationnement estivaux de vautours fauves et moines occasionnel (présent presque à chaque années). Je ne pourrais par contre vous présenter ces deux espèces puisque je n'ai put les observer ni ici ni ailleurs.
L'espèce la plus courante de ces milieux est le TRAQUET Motteux, qui s'identifie à sa couleur grise et son bandeau noir chez le mâle tandis que la femelle est brunâtre.
Autre oiseau assez commun, le pipit spioncelle, qui se remarque à sa longue queue, son plastron rosé et sa tête gris-bleuté en été.
La troisième espèce rencontré presque sur tout les versants de montagnes, faisant partie de la famille des corvidés, est le chocard à bec jaune. Il est très facile à identifié lorsqu'il est posé, il est reconnaissable à son bec jaune et court et ses pattes rouges, la seule espèce avec laquelle il peut-être confondu est le crave à bec rouge. Celui-ci a un bec long et rouge qui lui permet de fouiller la vase, si vous avez un oiseau que vous n'avez pas réussi à identifier et qui se rapproche assez de ses deux oiseaux et que vous l'avez prit en photo, vous pouvez toujours m'envoyer un mail et la photo pour que j'essaye de l'identifier.L'un des oiseaux les plus colorés de montagne et pourtant l'un des plus discrets, est sans doute le MONTICOLE De Roche, alias le Merle de roche. Cet oiseau, dont seulement le mal à la chance d'arborer un plumage orange et bleu, est un migrateur qui ne stationne en Europe que pour l'été, la femelle quand à elle est brune. Son milieu, dans lequel vous aurez le plus de chance de le trouver est les pierriers de hautes altitudes et les falaises.Mâle adulte.
Femelle adulte.
Couple sur deux rochers, à vous de les trouver.
L'autre corvidé assez présent au Col de la Colombière est le GRAND Corbeau, qui se reconnait à sa grande taille (à peu près celle d'une buse), et à sa queue en losange. L'espèce est assez fréquente en haute montagne, mais jamais en très grand nombre.La dernière catégorie d'oiseaux que l'on peut rencontrer dans ces milieux sont les rapaces. Au Col de la Colombière, le plus emblématique est le GYPAÈTE Barbu, malheureusement je n'ai put l'observé que de loin et n'est pas eu le temps de prendre une photo. On y rencontre aussi souvent du FAUCON Crécerelle, et comme je vous l'avais dit en début d'article plusieurs espèces de vautours.
Une autre espèce que l'on y rencontre aussi mais qui est un peu plus rare est le CIRCAÈTE-Jean-Le-Blanc, qui ressemble beaucoup à une buse mais qui a des ailes beaucoup plus larges et le dessous de son corps entièrement blanc, a l'exception de sa tête qui est brune.Enfin, le rapace le plus connut de haute montagne, même pour les non-spécialiste, est sans nul doute l'AIGLE Royale, qui n'est pourtant pas nidificateur à cet endroit et pas très fréquent.
J'espère que cet article vous aura intéressé et qu'il vous donnera envie de se rendre en montagne.